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    4. Médecine prédictive : où en est la science ?

     Scientifique
    28/02/17

    Médecine prédictive : où en est la science ?

    Prévenir plutôt que guérir : voilà le but de la médecine prédictive qui cherche à connaître à l’avance les maladies risquant de se déclarer chez une personne avant l’apparition des premiers symptômes. L’objectif est d’éviter l’apparition desdites maladies ou au moins de s’y préparer. Bien qu’encore à ses débuts, cette médecine, reposant sur des tests génétiques, suscite beaucoup d’espoirs.

    Médecine prédictive : de quoi parle-t-on ?

    La médecine prédictive vise à déterminer les prédispositions biologiques d’une personne à certaines maladies afin d’en retarder, voire d’en éviter, la survenue, grâce à la lecture et l’interprétation des informations contenues dans ses gènes. « La possibilité d’étudier les données génétiques d’une personne grâce au séquençage de leur génome permet, dans l’idée, d’adapter leur traitement curatif ou de leur proposer un traitement préventif adapté à leur panorama génétique », détaille le Pr Alain Verloes, Chef du département de Génétique médicale de l’hôpital Robert Debré (AP-HP).

    A noter : la médecine prédictive relève du champ de la médecine personnalisée, qui, selon l’Inserm, propose de « traiter chaque patient de façon individualisée en fonction de ses spécificités génétiques et environnementales ».

    Un peu d’histoire

    Le concept de médecine prédictive a été énoncé pour la première fois en 1972 par l’immunogénéticien Jean Dausset, Prix Nobel de médecine. Elle devait, selon lui, « changer la nature de la consultation médicale du XXIe siècle » en mettant l’accent sur la prévention individualisée des pathologies. « Aujourd’hui, les principes de ce type de médecine ont été posés et les perspectives qu’elle ouvre sont très claires », poursuit le Professeur Verloes. Elle n’en est toutefois qu’à ses prémices : seules quelques applications focalisées existent pour l’instant.

    Médecine prédictive : comment et pour qui ?

    « Depuis une vingtaine d’années, des tests sont réalisés chez des patients ayant de fortes prédispositions familiales à développer certaines maladies à révélation tardive telles que les maladies neurodégénératives du système nerveux central – certaines formes de la maladie d’Alzheimer, la chorée de Huntington etc – ou encore certains cancers, souligne le Pr Alain Verloes. Il s’agit de tests bien précis, ciblant une mutation génétique spécifique chez des patients dont, généralement, l’un des parents est porteur. Une altération au niveau des gènes BRCA1 et BRCA2, gènes principaux de prédisposition aux cancers du sein, par exemple. » L’objectif est de savoir si ces patients ont un risque élevé de développer une pathologie en particulier ou s’ils ont un risque « normal », semblable à celui de la population générale, et de proposer un suivi adapté.

    A noter : Ce type de diagnostic présymptomatique génétique est né grâce à la découverte, en 1993, du gène responsable de la maladie – incurable – de Huntington. Cette procédure est aujourd’hui bien installée, quoique très codifiée en France, c’est-à-dire réalisée dans des centres génétiques agréés selon des protocoles bien établis déclarés à l’Agence de Biomédecine.

    Et aujourd’hui ?

    L’idée est désormais d’étendre ces tests à d’autres variantes de notre génome, afin de détecter des prédispositions à des maladies polygéniques ou plurifactorielles, telles que l’hypertension, les maladies coronariennes ou le diabète. « Depuis la fin des années 1990, des études, telles que “HapMap“ ou “1000 genomes“, sont menées à l’échelle internationale pour essayer de cartographier les variations courantes du génome humain », souligne le Professeur Verloes.

    De fait, un catalogue de plusieurs millions de variations possibles a été établi. Depuis 2005, une technique d’analyse biostatistique de ces variantes, baptisée GWAS (pour « Genome-wide Association Study »), essaie de corréler certaines de ces variantes et l’apparition de maladies « courantes ». « La médecine voudrait pouvoir utiliser les données biologiques et statistiques recueillies pour évaluer le risque, pour un patient, de développer telle ou telle maladie », rappelle le Chef du département de Génétique médicale de l’hôpital Robert Debré.

    À noter : Il n’est pas possible, pour l’heure, de déterminer l’avenir médical d’une personne, c’est-à-dire les maladies qu’elle est susceptible de développer au cours de sa vie, car nous ne connaissons pas l’ensemble des loci qui correspondent à l’emplacement précis des gènes sur chaque chromosome et qui confèrent un risque accru ou sont protecteurs, et nous ne disposons pas d’un modèle biostatistique capable d’intégrer les effets de l’ensemble des variants modificateurs identifiés par le GWAS. « Les données génétiques dont nous disposons ne permettent pas encore d’utiliser les techniques de la médecine prédictive de manière aussi générale », explique le Pr Alain Verloes. Sachant, en outre, que la génétique n’est qu’un des facteurs contribuant à faire apparaître la plupart des maladies : en effet, s’y ajoutent des facteurs environnementaux et comportementaux, notamment.

    Application en pharmacogénétique

    La médecine prédictive trouve toutefois une application concrète dans le domaine de la pharmacogénétique, c’est-à-dire l’étude de l’influence du génome sur la variabilité de la réponse à un traitement médicamenteux (pouvant aller jusqu’à une diminution ou une absence d’efficacité dudit traitement, des effets indésirables voire toxiques etc). Et ce, afin de mieux cibler les thérapies médicamenteuses, d’améliorer le confort des patients et de réduire le coût de leur prise en charge. « Cela existe pour un certain nombre de traitements anticancéreux aux potentiels effets toxiques, pour lesquels les doses à utiliser doivent être établies en fonction du génotype du malade, c’est-à-dire en fonction de variations qui se trouvent dans un gène précis impliqué dans le métabolisme ou les effets secondaires de ces produits, détaille le Pr Alain Verloes. C’est aussi le cas de certains antiagrégants plaquettaires, par exemple. Par ailleurs, au sein du service de génétique de l’hôpital Robert Debré, les pharmacologues font du génotypage pour certains traitements anti leucémiques. »

    A noter : La pharmacogénétique est en plein développement. D’ailleurs, en France, la Haute Autorité de santé (HAS) recommande désormais de procéder à un test génétique avant la prise de certains médicaments anti-HIV permettant d’identifier les personnes porteuses d’une forme d’un gène prédisposant à de graves effets secondaires en cas de prise.

    Le séquençage génomique au service du diagnostic et du traitement personnalisés du cancer

    L’entreprise américaine Foundation Medicine, Inc. (FMI), dont Roche est partenaire depuis avril 2015, est spécialisée dans l’information moléculaire. Elle travaille à améliorer la prise en charge du cancer en basant les décisions thérapeutiques sur un profilage génomique de chaque cas de cancer. Les tests cliniques qu’elle développe – pour les tumeurs solides et pour les hémopathies malignes, les sarcomes et les cancers touchant les enfants – permettent d’identifier les altérations moléculaires spécifiques au cancer d’un patient et, sur cette base, de choisir des traitements ciblés et des essais cliniques pertinents. Elle a par ailleurs lancé une plateforme d’information destinée aux cliniciens, chercheurs universitaires et spécialistes du développement pharmaceutique pour faire progresser la science de la médecine moléculaire dans le domaine du cancer.

    Sources :

    Etude HapMap : www.hapmap.org

    Etude 1000 genomes : www.1000genomes.org

    Etude GWAS : www.gwascentral.org

    http://www.foundationmedicine.com/

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